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Les pieds noirs de Manou

Ma grand-mère Manou m’a toujours parlé de l’Algérie des années 50 dans laquelle elle a grandi et qu’elle a quitté à vingt deux ans à la fin de la guerre d'indépendance. À une enfance heureuse et ensoleillée a succédé l’exode douloureux et la difficulté de toute la famille à se réadapter. Cet imagier propose un regard sur l’exil, opposant des souvenirs de l’Algérie aux premières impressions qu'a connu Manou de la France. Chaque couple d'images illustre ses paroles, annotées d’extraits de textes lui répondant. Il traite aussi de l'ambiguïté de la transmission mémorielle pied-noirs. (Photographie : Michèle Garrec)

Diplôme des Métiers d'Arts option Gravure, École Estienne, Paris - livre réalisé en taille-douce et gaufrage - 7 exemplaires / 2016

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